Aujourd'hui gants, lunette et masque, notre amie la laine de verre était de la partie.
Avec Frédéric on a, non sans mal, déroulé au plafond et accroché aux suspentes les rouleaux.
Sébastien après s'être reposé de son rhume nous a rejoint pour commencer l'isolation des murs de la cuisine.
Il y a toujours une vis à ajouter, un clou à sortir pour éviter de déchirer le pare vapeur... pas mal de temps sur des découpes de rail. J'ai essayé de préparer l'avaloir du Velux, mais je ne suis pas convaincu du résultat, je vais devoir y réfléchir.
On a mis une heure à deux pour mettre deux hauteurs de laine et 7 fourrures... ça promet.
J'espère que demain on va continuer à avancer les murs.
Demain le plombier doit passer, et j'ai rappelé IKEA pour qu'ils livrent samedi !
vendredi 17 avril 2009
Les plats de résistance variés - isolation des murs
Deuxième jour de laine de verre !
Benoît et Sébastien m'ont prêté main forte.
On a un peu avancé le mur de la cuisine. Pendant que Benoît fixé le tableau électrique on a déroulé le PER et coupé les première longueurs.
Sébastien est parti après déjeuner (pique nique sur la terrasse, boudin apporté par benoît, tomate, vin, fromage, jambon, saucisson ; ça manque un peu de légume...) pour aller gagner un match de tennis en 3 sets ! (il a eu raison de maintenir malgré le rhum).
Avec Benoît on a continué à fixer des rails, aspiré, fait des trous, aspiré, fait tomber le plâtre des murs qui ne tenait plus (il y a de l'humidité qui vient de la terrasse...).
Le plombier est passé pour vérifier s'il avait tout et m'a prêté sa pince à sertir le PER avec les raccords ! (c'est le seul moyen autorisé pour laisser des raccords dans un doublage).
J'ai réservé un lève plaque à Kiloutou pour lundi (j'espère que le timing est bon) pour aider à la pose des plaques de BA13 (2,5x1,2m) au plafond
Il y a trois types de raccords: à visser, à glisser, à sertir, et les derniers sont réservés aux pros bien sûr (on ne peut même pas acheter les raccords chez Leroy Merlin).
Donc demain matin, arrivée matinale, Frédéric arrive à 8h, les meubles Ikea dans la matinée, et le plombier à 16h. Ça promet d'être une bonne journée encore.
Note: encore une bonne pluie aujourd'hui et toujours pas de fuite au Velux !
Benoît et Sébastien m'ont prêté main forte.
On a un peu avancé le mur de la cuisine. Pendant que Benoît fixé le tableau électrique on a déroulé le PER et coupé les première longueurs.
Sébastien est parti après déjeuner (pique nique sur la terrasse, boudin apporté par benoît, tomate, vin, fromage, jambon, saucisson ; ça manque un peu de légume...) pour aller gagner un match de tennis en 3 sets ! (il a eu raison de maintenir malgré le rhum).
Avec Benoît on a continué à fixer des rails, aspiré, fait des trous, aspiré, fait tomber le plâtre des murs qui ne tenait plus (il y a de l'humidité qui vient de la terrasse...).
Le plombier est passé pour vérifier s'il avait tout et m'a prêté sa pince à sertir le PER avec les raccords ! (c'est le seul moyen autorisé pour laisser des raccords dans un doublage).
J'ai réservé un lève plaque à Kiloutou pour lundi (j'espère que le timing est bon) pour aider à la pose des plaques de BA13 (2,5x1,2m) au plafond
Il y a trois types de raccords: à visser, à glisser, à sertir, et les derniers sont réservés aux pros bien sûr (on ne peut même pas acheter les raccords chez Leroy Merlin).
Donc demain matin, arrivée matinale, Frédéric arrive à 8h, les meubles Ikea dans la matinée, et le plombier à 16h. Ça promet d'être une bonne journée encore.
Note: encore une bonne pluie aujourd'hui et toujours pas de fuite au Velux !
mercredi 15 avril 2009
Les plats de résistance variés - isolation du plafond
Et nous voilà rendu à la reconstruction !
Aujourd'hui au programme : pose des suspentes avec Benoît et Sébastien.
Sébastien a attrapé un rhume mais est quand même présent (je ne sais pas s'il va finir l'aventure :-).
Benoît en pleine forme s'est attaqué à la fixation des appuis intermédiaires des fourrures des murs.
Avec Sébastien on a ajusté une à une les suspentes. J'avais rêvé d'un niveau laser, mais finalement je n'ai pas trouvé ce que je voulais (dans mes prix). On a donc utilisé le bon vieux niveau et le cordeau. On a donc construite une sorte de toile d'araignée puis on a ajusté les débattements et les hauteurs. On commence donc à voir se dessiner le futur plafond rampant.
On n'a pas réussi à terminer assez tôt pour fixer la laine de verre en rouleau, mais ce sera pour demain.
J'ai jeté un œil au planning, on est presque en avance de deux jours, mais je n’ai pas touché à l'électricité...
Je ne vais pas tarder à aller manger.
A demain !
Aujourd'hui au programme : pose des suspentes avec Benoît et Sébastien.
Sébastien a attrapé un rhume mais est quand même présent (je ne sais pas s'il va finir l'aventure :-).
Benoît en pleine forme s'est attaqué à la fixation des appuis intermédiaires des fourrures des murs.
Avec Sébastien on a ajusté une à une les suspentes. J'avais rêvé d'un niveau laser, mais finalement je n'ai pas trouvé ce que je voulais (dans mes prix). On a donc utilisé le bon vieux niveau et le cordeau. On a donc construite une sorte de toile d'araignée puis on a ajusté les débattements et les hauteurs. On commence donc à voir se dessiner le futur plafond rampant.
On n'a pas réussi à terminer assez tôt pour fixer la laine de verre en rouleau, mais ce sera pour demain.
J'ai jeté un œil au planning, on est presque en avance de deux jours, mais je n’ai pas touché à l'électricité...
Je ne vais pas tarder à aller manger.
A demain !
mardi 14 avril 2009
Petite pose ravitaillement
Ouf !
La journée a bien commencé à 8h30 avec l'accueil du couvreur pour la pose du Velux.
Je l'ai rapidement laissé pour aller louer un camion 12m cubes, tout de même, et Ada en avait encore, ouf.
La chance est avec moi, j'avais prévu un peu de mou dans le planning pour faire les emplettes.
Frédéric m'a supporté une demi-journée chez Leroy Merlin pour faire le tour de ma longue liste, plomberie, électricité, isolation, sol. On a eu 20% grâce à sa super carte et tout était en stock, ouf.
Entre temps j'ai eu le couvreur au téléphone et il avait terminé avant midi !
Suite à quoi Benoît et Sébastien sont venus nous aider à décharger le camion, car 34 plaques de BA13 ça commence à faire en plus de la quinzaine de rouleaux de laine de verre et les 160 kilos de ragréages. J'ai réussi à rendre le camion avant 18h30 comme promis, ouf.
Mais il aurait été étonnant de ne rien oublier dans cette journée marathon, et j'avais laissé chez Leroy Merlin des produits payés et oublié deux trois petites choses, j'ai donc refait un aller retour mais en voiture cette fois. Et pendant ce temps, à l'extérieur un orage a éclaté, j'ai de suite pensé au Velux fraichement posé. Et au retour, pas une fuite, ouf.
Au dodo de bonne heure ce soir, j'ai hâte de commencer à reconstruire.
La journée a bien commencé à 8h30 avec l'accueil du couvreur pour la pose du Velux.
Je l'ai rapidement laissé pour aller louer un camion 12m cubes, tout de même, et Ada en avait encore, ouf.
La chance est avec moi, j'avais prévu un peu de mou dans le planning pour faire les emplettes.
Frédéric m'a supporté une demi-journée chez Leroy Merlin pour faire le tour de ma longue liste, plomberie, électricité, isolation, sol. On a eu 20% grâce à sa super carte et tout était en stock, ouf.
Entre temps j'ai eu le couvreur au téléphone et il avait terminé avant midi !
Suite à quoi Benoît et Sébastien sont venus nous aider à décharger le camion, car 34 plaques de BA13 ça commence à faire en plus de la quinzaine de rouleaux de laine de verre et les 160 kilos de ragréages. J'ai réussi à rendre le camion avant 18h30 comme promis, ouf.
Mais il aurait été étonnant de ne rien oublier dans cette journée marathon, et j'avais laissé chez Leroy Merlin des produits payés et oublié deux trois petites choses, j'ai donc refait un aller retour mais en voiture cette fois. Et pendant ce temps, à l'extérieur un orage a éclaté, j'ai de suite pensé au Velux fraichement posé. Et au retour, pas une fuite, ouf.
Au dodo de bonne heure ce soir, j'ai hâte de commencer à reconstruire.
Les entrées robustes (suite)
Accueil un peu moins matinal et organisé...
J'avais oublié de vous dire que je n'ai pas manqué de me retourner l'ongle du pouce au sang la veille (je vous vois déjà sourire : chochotte). Une nuit un peu écourtée car j'avais pris la veille un gravât dans l'œil... et dans la nuit il n'était toujours pas parti et au matin ça devenait inquiétant, Benoît a dû me conduire aux urgences de Pellegrin. Au final rien de méchant un peu de crème à mettre dans l'œil (c'est un peu étrange je suis d’accord avec vous) trois fois par jour et des larmes...
Passé ce contretemps le chantier a pu débuter à 11h30, Olivier a remplacé Patrick.
La journée s'annonce tranquille puisque le rythme de la veille avait épuisé le planning et dépourvu de matière première on allait vite se retrouver à court.
Benoît s'est attelé à la disqueuse et au marteau piqueur pour mettre à jour la conduite d'eau principale à changer sous la terrasse (il a adoré), mission réussie brillement.
Olivier a fait quelques percées en prévision des futures alimentations électriques et évacuations d'eau.
Puis on a sorti quelques traverses qui tenait l'ancien plafond côté cuisine, car après de longues palabres sur la hauteur idéal et le meilleur effet, nous sommes restés sur notre première idée d'un plafond rampent.
Sébastien a diagnostiqué un chevron défectueux... et c'est à ce moment que la journée pépère a pris un tout autre tournant. Après deux aller/retour à Castorama pour être sûr d'avoir les bonnes dimensions on a pu changer le chevron en découvrant une partie de la toiture et en sciant deux liteaux.
Une pose déjeuner un peu décalée vu que l'embauche en ce lundi de Pâques a été retardé pour mon beau œil. Comme hier, un repas de fête : gigot d'agneau de lait à l'aillet et pâtes suivi de fromage et salade de fruits frais.
Mais le diagnostic a révélé des appuis en bois un peu fragiles, voire complètement pourris à sur la sablière (j'ai appris plein de mots, la sablière c'est la partie haute du mur sur laquelle repose les chevrons). Après quelques essais de soutènements précaires des chevrons pour soulever la toiture on a déclaré forfait. Le voisin est allé nous chercher trois étais de 3m et là ça a été efficace mais nous a pris pas mal de temps.
Encore une bonne journée de passée (j'ai quand même réussi à me donner un bon coup de massette sur mon ongle retourné, et là ça commence vraiment à faire mal).
Demain une journée chargée:
- utilitaire à prendre en location (je ne suis pas encore sûr que Hertz en a un pour moi ils doivent me rappeler demain à 8h)
- courses à faire chez Leroy Merlin
- courses à entreposer (rien que les 50 plaques de BA13 vont me faire regretter de ne pas avoir repris le sport mi-février comme programmé)
Ce soir j'ai fait le point sur les quantités des matériaux à acheter et rédigé ce blog, il est 1h40, je suis dans le froid pas douché ni restauré devant le portable les pieds au-dessus de la FreeBox qui ne me tient pas vraiment chaud (le chat a préféré aller se réfugier dans la chambre sur la couette.
Demain je mettrai quelques photos.
Bonne nuit et à demain !
J'avais oublié de vous dire que je n'ai pas manqué de me retourner l'ongle du pouce au sang la veille (je vous vois déjà sourire : chochotte). Une nuit un peu écourtée car j'avais pris la veille un gravât dans l'œil... et dans la nuit il n'était toujours pas parti et au matin ça devenait inquiétant, Benoît a dû me conduire aux urgences de Pellegrin. Au final rien de méchant un peu de crème à mettre dans l'œil (c'est un peu étrange je suis d’accord avec vous) trois fois par jour et des larmes...
Passé ce contretemps le chantier a pu débuter à 11h30, Olivier a remplacé Patrick.
La journée s'annonce tranquille puisque le rythme de la veille avait épuisé le planning et dépourvu de matière première on allait vite se retrouver à court.
Benoît s'est attelé à la disqueuse et au marteau piqueur pour mettre à jour la conduite d'eau principale à changer sous la terrasse (il a adoré), mission réussie brillement.
Olivier a fait quelques percées en prévision des futures alimentations électriques et évacuations d'eau.
Puis on a sorti quelques traverses qui tenait l'ancien plafond côté cuisine, car après de longues palabres sur la hauteur idéal et le meilleur effet, nous sommes restés sur notre première idée d'un plafond rampent.
Sébastien a diagnostiqué un chevron défectueux... et c'est à ce moment que la journée pépère a pris un tout autre tournant. Après deux aller/retour à Castorama pour être sûr d'avoir les bonnes dimensions on a pu changer le chevron en découvrant une partie de la toiture et en sciant deux liteaux.
Une pose déjeuner un peu décalée vu que l'embauche en ce lundi de Pâques a été retardé pour mon beau œil. Comme hier, un repas de fête : gigot d'agneau de lait à l'aillet et pâtes suivi de fromage et salade de fruits frais.
Mais le diagnostic a révélé des appuis en bois un peu fragiles, voire complètement pourris à sur la sablière (j'ai appris plein de mots, la sablière c'est la partie haute du mur sur laquelle repose les chevrons). Après quelques essais de soutènements précaires des chevrons pour soulever la toiture on a déclaré forfait. Le voisin est allé nous chercher trois étais de 3m et là ça a été efficace mais nous a pris pas mal de temps.
Encore une bonne journée de passée (j'ai quand même réussi à me donner un bon coup de massette sur mon ongle retourné, et là ça commence vraiment à faire mal).
Demain une journée chargée:
- utilitaire à prendre en location (je ne suis pas encore sûr que Hertz en a un pour moi ils doivent me rappeler demain à 8h)
- courses à faire chez Leroy Merlin
- courses à entreposer (rien que les 50 plaques de BA13 vont me faire regretter de ne pas avoir repris le sport mi-février comme programmé)
Ce soir j'ai fait le point sur les quantités des matériaux à acheter et rédigé ce blog, il est 1h40, je suis dans le froid pas douché ni restauré devant le portable les pieds au-dessus de la FreeBox qui ne me tient pas vraiment chaud (le chat a préféré aller se réfugier dans la chambre sur la couette.
Demain je mettrai quelques photos.
Bonne nuit et à demain !
dimanche 12 avril 2009
Les entrées robustes
Accueil croissant/café et mines réjouies à l'idée de CASSER de si bon matin.
Je ne peux m'empêcher de dire que Benoît est arrivé en quasi Guest Star à 11h30 vêtu d'un magnifique pantalon de velours, qui ne l'a pas empêcher de prendre le rythme aussitôt ;-)
Quelques coups de masse pour le bar par Sébastien, un pied de biche pour qui ne quittait pas Patrick, un marteau de charpentier pour Benoît qui enlevait les clous, une fourche, une pelle, des sacs, une remorque... qui ne désemplissait pas au grand damne du duo Sébastien/Benoît
Alors que le duo ne faisait que vider et remplir à leur plus grand regret, avec Patrick on détruisait isolant et plafonds.
En quelques heures, plus de bar en béton, de plafond et sa laine de verre tant redoutée, plus d'isolation sur les murs, plus de gravats (évacués à la déchetterie).
Et par voie de conséquence plus d'électricité ni de chauffage...
On en a quand même pris le temps de déjeuner chez Maman et de se restaurer à la hauteur du chantier entrepris : foie gras de Benoît, rôti de porc, Pomerol de Patrick, frittes maison, œufs au lait ou fondant au chocolat (les deux pour Patrick bien sûr !, pas de pousse café).
Une excellente première journée, puisqu'on a déjà gagné un jour sur le planning et que le circuit de chauffage a été purgé et les radiateurs démonté.
Je ne peux m'empêcher de dire que Benoît est arrivé en quasi Guest Star à 11h30 vêtu d'un magnifique pantalon de velours, qui ne l'a pas empêcher de prendre le rythme aussitôt ;-)
Quelques coups de masse pour le bar par Sébastien, un pied de biche pour qui ne quittait pas Patrick, un marteau de charpentier pour Benoît qui enlevait les clous, une fourche, une pelle, des sacs, une remorque... qui ne désemplissait pas au grand damne du duo Sébastien/Benoît
Alors que le duo ne faisait que vider et remplir à leur plus grand regret, avec Patrick on détruisait isolant et plafonds.
En quelques heures, plus de bar en béton, de plafond et sa laine de verre tant redoutée, plus d'isolation sur les murs, plus de gravats (évacués à la déchetterie).
Et par voie de conséquence plus d'électricité ni de chauffage...
On en a quand même pris le temps de déjeuner chez Maman et de se restaurer à la hauteur du chantier entrepris : foie gras de Benoît, rôti de porc, Pomerol de Patrick, frittes maison, œufs au lait ou fondant au chocolat (les deux pour Patrick bien sûr !, pas de pousse café).
Une excellente première journée, puisqu'on a déjà gagné un jour sur le planning et que le circuit de chauffage a été purgé et les radiateurs démonté.
samedi 11 avril 2009
Apéritif
Copieux mais raisonnable !
Une journée marathon: Gare Saint-Jean, un crochet à BricoDépôt, courses à Carrefour, repas sandwich... et café avec Stéphane, Hélène et Daniel.
Stéphane n'a pas manqué l'appel et tout a été emballé, protégé, rangé,... et même certaines choses démontées comme prévues : four, lave vaisselle, plaques de cuisson.
Pas de mauvaise surprise à part que le dernier carton n'était jamais le dernier car il reste toujours, le torchon, le cadre, la peluche, le verre, la salière qu'on n'avait pas vu ; et pour lesquels il faut toujours trouver une place alors que ses camarades sont déjà tous ensemble dans un carton plein monté à l'étage.
Patrick est passé, septique sur l'état d'avancement... on verra le lendemain.
Une petite pensée pour la famille qui est partie s'exiler en Normandie par le train ce matin avec un changement à Paris.
Fin prêt pour le lendemain.
Voilà la maison vidée :
Une journée marathon: Gare Saint-Jean, un crochet à BricoDépôt, courses à Carrefour, repas sandwich... et café avec Stéphane, Hélène et Daniel.
Stéphane n'a pas manqué l'appel et tout a été emballé, protégé, rangé,... et même certaines choses démontées comme prévues : four, lave vaisselle, plaques de cuisson.
Pas de mauvaise surprise à part que le dernier carton n'était jamais le dernier car il reste toujours, le torchon, le cadre, la peluche, le verre, la salière qu'on n'avait pas vu ; et pour lesquels il faut toujours trouver une place alors que ses camarades sont déjà tous ensemble dans un carton plein monté à l'étage.
Patrick est passé, septique sur l'état d'avancement... on verra le lendemain.
Une petite pensée pour la famille qui est partie s'exiler en Normandie par le train ce matin avec un changement à Paris.
Fin prêt pour le lendemain.
Voilà la maison vidée :
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